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 yw : the movie

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yw : the movie Empty
MessageSujet: yw, the movie   yw : the movie Icon_minitimeMer 27 Mai - 22:49

    MY SCANDALOUS LIFE
    INSPIRED BY TRUE EVENTS
    yw : the movie Jacksongun


    « La vie de chaque être humain est un petit documentaire. Un sera long et inintéressant ; un sera beaucoup trop court pour qu’on se donne la peine de le regarder ; un sera empli de drames consécutifs ; un sera du pathétisme total ; un sera drôle et agréable à regarder ; le personnage principal d’un autre sera si laid qu’on va aussitôt dévier notre regard vers un autre, dont la vedette sera un mélange de top-modèle et de pornstar. On a beau le nier, mais chaque vie est différente. Chaque jour est différent. Des pères meurent, des enfants sont blessés, des adolescentes sont violées, des soldats se font assassiner, et ainsi de suite… Des millions de gens meurent. Des millions de gens perdent leur âme sœur. Des millions de gens perdent leur petite sœur. Mais bon, c’est peut-être un peu apocalyptique comme vision des choses. Car des pères embrassent leurs épouses, des enfants naissent, des adolescents vivent leur premier amour, des soldats revoient leur famille après des mois d’absence… Ainsi va la vie, non ? Est-ce réellement intéressant ? Un jour, quelque chose troublera le monde entier. Et tout changera. »


    « Bien, Mr.Winston. Comment décrieriez-vous votre ‘documentaire’ à vous, comme vous dites ? »

    « Eh bien, mon documentaire à moi est empli de surprise, Mr. Cade. Il commence doucement, calmement. Il débute comme tous les autres le font. Le drame n’arrive que bien plus tard. »

    Son regard émeraude se perdit dans le mur derrière l’homme assis devant lui, qui s’agita inconfortablement dans son fauteuil. Il tira nerveusement sur son costume : sa femme avait pris la taille au-dessous de celle qu’il prenait d’habitude. Il regarda le jeune homme, qui avait à peine 20 ans. Jetant un coup d’œil à son dossier, il vit qu’il avait 19 ans. Sa peau pâle, ses longs cheveux noirs mal coiffés et son regard lui rappelait vaguement Dracula : car sans que personne ne l’avoue vraiment, on avait peur de Yannick Winston. C’était un garçon renfermé qui ne s’ouvrait presque jamais sur les autres. Il était toujours assis au même endroit de l’école d’Albany, sur ce banc devant la bibliothèque. Il lisait un livre, regardait les passants ou filmait ce qui l’entourait avec sa caméra. On aurait juré qu’il n’avait pas d’amis, qu’il ne connaissait personne et que personne ne le connaissait. La rumeur courait qu’il avait fait de la prison et qu’il était un alcoolique et un drogué. Mais personne ne pouvait prétendre connaître la vérité. Son professeur d’anglais, le dénommé Mr. Cade, le considérait comme un élève studieux qui allait aller loin, même s’il était un peu particulier. Il craignait un peu son brillant étudiant ; il n’osait pas trop le pousser.


    « Eh bien, Mr. Winston ? Je vous écoute ; racontez-moi votre vie. »
    « Ma vie ? »

    Il laissa échapper un ricanement et remonta les manches de sa chemise blanche. Il sortit une cigarette de sa poche et l’alluma. Aspirant une fumée que le professeur désapprouvait sans le réprimer, il commença.


    « Je suis né un jour pluvieux, ici, à Albany. Comme si la température annonçait l’ambiance de ma vie. Ironique, n’est-ce pas ? Ma mère, après maintes douleurs, réussit à me faire sortir de la cavité dans laquelle j’étais pris depuis 9 mois – ou presque. Il paraîtrait que je ne faisais que pleurer silencieusement lorsque le docteur m’a emmené pour me nettoyer. Aucun cri. Juste des petites larmes discrètes. Je fus choyé pendant les premières années de ma vie. Élevé par des parents aimants, rien ne semblait pouvoir me bouleverser. Pour mes parents, j’étais destiné à un avenir brillant : ils étaient très aisés et m’inspirait à devenir avocat. Huh ! Je n’avais que 4 ans à l’époque. Puis, ce fut ma rentrée à l’école primaire : j’étais arrivé à l’établissement, léger et souriant, contrastant avec la plupart de mes camarades qui étaient carrément en larmes. L’année se déroulait bien : j’avais de bonnes notes, mais je n’avais pas d’amis. Les autres me trouvaient trop bizarre pour eux. Il faut dire que j’avais tout qu’un allure avec mes chandails trop grands et mes longs cheveux noirs. Vous savez, ce gros balourd qui prend un souffre-douleur chaque année ? J’étais le souffre-douleur. Au début, je me laissais faire, ne voyant pas l’intérêt de me défendre. J’imagine que c’est ce qui était le plus frustrant : il me ruait de coups puis je repartais en silence, sans cris ni larmes. Je m’en foutais, et ca le mettais en rogne. Évidemment, un bon jour, je me suis fâché. J’ai regardé ce connard droit dans les yeux. Et il est arrivé un phénomène inexplicable. Dans ma tête, des flashs apparurent. Je vis un couple qui s’engueulait. L’homme gifla la femme, qui tomba par terre en braillant comme un bébé. Lorsque je revins à la réalité, le balourd était tétanisé et crispé de douleur. Il me regarda, l’air complètement terrifié. Puis il s’enfuit et plus jamais il ne m’importuna. Étrange, non ? Je n’avais pas compris moi-même : je n’avais que 6 ans. Cela recommença au début du secondaire. Je n’étais pas très connu non plus. Je me réfugiais constamment derrière ma fidèle caméra. Mon rêve, c’était de devenir réalisateur. Je filmais la vie des gens, passionnément. Personne ne me parlait et ca m’allait parfaitement. Ce qui était arrivé avec le balourd se répéta de nombreuses fois : je vis des querelles, des funérailles, des incendies, tout ce que vous voulez. À 13 ans, je compris ce que j’avais : c’était simple. Je pouvais faire souffrir les gens en leur rappelant de mauvais souvenirs. J’avais le pouvoir de regarder leurs plus sombres secrets et de m’en servir pour les effrayer. J’en étais presque satisfait, même si je ne comprenais pas parfaitement. Encore aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi ca m’arrive à moi. C’était mon arme contre les autres. Je n’hésitais jamais à m’en servir. J’avais 15 ans lorsque ma vie bouscula. Je rentrais à la maison après une journée banale d’école. D’habitude, ma mère m’accueillait en souriant : ‘Comment était ta journée ?’. Mais là, rien. J’avais fait le tour de la maison pour les avoir trouvés, tout les deux, dans leur lit. Croyant qu’ils dormaient, j’avais vaqué à mes occupations. Mais les heures passèrent sans qu’ils ne bougèrent d’un pouce. Je m’étais approché d’eux et j’avais vu leur gorge sanglante, leur peau bleuâtre, les yeux exorbités. Ils était horriblement laids à voir. Ce fut le dernier souvenir que j’eus de mes parents. Mes deux parents, assassinés. Pourquoi ? Hum, qui sait. Jamais on a découvert qui c’était. Un psychopathe, on avait dit. Je fus placé en famille d’accueil, et tout changea. Moi qui était tant calme et tranquille, je commençai à voir des gens peu fréquentables. Je pris de la drogue ; je bus de l’alcool ; j’allai toujours dans des endroits où je ne devais pas aller. Je fuyais la réalité. Je devins violent. Un jour, j’ai rué ma mère adoptif de coups de poings. Je n’étais plus personne. Ma caméra prenait la poussière dans le fond d’une boîte. Tout le monde me craignait. Et le pire arriva. J’avais un peu trop bu, j’étais avec des gars bien plus vieux que moi. Je devais avoir 16 ans. On se promenait dans une rue déserte, aux petites heures du matin. Et dans une ruelle, il y avait deux jeunes filles. Les gars avec qui j’étais les abordèrent. Elle étaient craintives, elles avaient peur de nous. Ils les violèrent alors que je restais là, à regarder la scène. Puis, ils fuirent, laissant les deux filles à l’abandon. Mon côté sensible fit surface à ce moment : j’oubliai l’alcool, la drogue et l’enfer dans lequel je vivais. J’aidai les deux filles à revenir chez elles et grâce à cela, je ne subis pas le même sort que les autres. Je n’écopai de rien alors qu’ils allèrent en prison. L’une des filles s’appelaient Emilia et je tombai amoureux d’elle. Évidemment, je ne m’approchai pas trop d’elle. Je restais loin, à l’observer. Jamais je ne lui ai parlé. Je ne faisais que la regarder. Mais un jour, elle déménagea, et je ne la revis plus jamais. Dramatique ? Non, c’est juste la vie, Mr. Cade. Ce sont des choses qui arrivent de temps à autres. Peut-être pas aux bonnes personnes, mais ca arrive. Depuis ce jour-là, je ne suis qu’un artiste incompris et solitaire, qui regarde la vie au lieu de la vivre. Oh et, ne faites pas cette tête, Mr. Cade. Je n’utiliserai pas mon pouvoir contre vous… »


    Un sourire se dessina sur ses lèvres. Le professeur déglutit.

    _______________________________

    About You
    about me ? huh, whatever.

    Personnalité de l'avatar : Jackson Rathbone (:
    Pouvoir du personnage : Faire souffrir quelqu'un mentalement en ravivant ses pires souvenirs... ♥ !
    École du personnage : Albanyyy (H)
    Nom/Pseudo : Mârii-Ahnneuuh, ou Marianne si vous préférez.
    Âge : 15 ans dans quelques jours ( j'aime pas dire 1* ans )
    Commentaires : VIVE BB ! Bon j'ai hésité un moment à m'inscrire mais puisque nous sommes tous des personnes tolérantes, je suis venue. Aussi parce que j'adore Jackson, le design, BB, le RPG et le prénom Yannick (allez savoir pourquoi bande de curieuses petites choses) !


Dernière édition par Yannick Winston le Jeu 28 Mai - 20:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeMer 27 Mai - 23:23

mariiiiiiiiiiie (:
love you (l)
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeJeu 28 Mai - 8:51

yo bitche (:
you are here <3
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeJeu 28 Mai - 9:07

BB =|
Kariiiiiiinnneeeeee. Tu veux m'tuer ou quoi ?!
Je vous aime tous jolies petites choses ♥
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeJeu 28 Mai - 9:12

dans ton commentaire t'as oublier de dire que tu aimais william :O
j'aime tellement ton giff xD
Je voudrais jackson sur un fow juste pour l'utiliser HAHA XD
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeJeu 28 Mai - 9:17

HAHAHAHAHA XD
Je te comprends donc chère Meg !
C'est tiré du film "Dread" que je VEUX absolument voir. XD
Et pour Will... Bah j'crois que c'est évident =)
Mais si tu y tiens : VIVE WILLLLLLLLLLL ♥
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeJeu 28 Mai - 20:24

FINI LES GENS =)
Dites-moi si c'est sensé.
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeJeu 28 Mai - 21:17

Ben Barnes is my wussy. gtfafh (:
Bienvenue Marianne Very Happy
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Jake Rousseau ?

Jake Rousseau ?


Féminin Nombre de messages : 2263
Age : 31
Date d'inscription : 12/08/2007

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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitimeVen 29 Mai - 17:49

BONJOUR.
wah, ta présentation est tellement bonne xD Sérieux, j'suis impressioné.
J'AIME TON POUVOIR.

alors bon, naturellement, t'es validée : )
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MessageSujet: Re: yw : the movie   yw : the movie Icon_minitime

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yw : the movie
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